Même pas le droit à un peu de repos... [RP en Thaïlande avec Jay Lucas]

/!\ Ce rp comporte des scènes violentes et impressionnantes. Les âmes sensibles sont priés de changer de lecture de rp. /!\

J'étais dans l'avion... Cette fois, pas de mission, juste des vacances... Et je ne pouvais même pas protester, puisque que Trystan m'avait obligé à partir. Pour mon bien m'avait-il dit... Je ne comprenais pas. J'étais beaucoup mieux à Strange Academy. Au moins là-bas j'avais mes repères, mes amis, mes élèves... Mais non, il avait fallut qu'il m'envoie en Thaïlande pour un mois de repos forcé si je puis dire. Il avait peur pour moi, cela se voyait dans ses yeux. Je l'avais vue lorsque j'étais rentrée de Suisse. A ce moment là, j'étais dans le coma, une balle entre les côtes, dans un piteux état. D'après ce qu'on m'avait dit, il était resté nuit et jour auprès de moi lorsque j'étais inconsciente. Il avait presque cessé de vivre... Tous ses rendez-vous avaient été annulé, plus personne ne pouvait le voir. Je m'étais réveillée environ une semaine après mon retour à l'académie. Trystan était sur un fauteuil assoupi près de mon lit. J'avais pue voir dans ses yeux la peur presque insupportable qu'il avait eut durant ces sept jours qui avaient dus être insoutenable. Quand il s'était rendut compte que j'étais réveillée, il a presque pleuré. Il m'a déposé un baiser sur le front, comme quand j'étais petite. Après mon réveil, je suis resté un peu plus d'un mois dans un lit. Je ne pouvais presque pas bougé, ma blessure me faisant extrêmement mal. D'ailleurs, je ne pourrais jamais assez remercier Tsuki pour tous ses soins. Sans elle je serais sûrement morte de souffrance...

Enfin, quand j'ai voulue reprendre du service, Trystan m'a demandée de partir pour un mois en Thaïlande... Pour me reposer... Pourquoi ? Me trouvait-il faible ? Incompétente ? J'avais soupiré, et il m'avait prise dans ses bras, comme un frère. Il m'avait susuré un "Je t'aime..." fraternel à l'oreille, et j'avais compris qu'il fallait que je parte. Cela lui permettrait de ne plus avoirs peur de m'envoyer en mission ou autre. Maintenant, je me trouvais dans l'avion ou jet privé, appelez cela comme vous voulez. J'avais la chance, ou pas, d'avoir un garde du corps. Pourquoi ? Pour me protéger sans aucun doute... Et cela rassurait Trystan par la même occasion. Je n'avais donc rien dis à ce propos. Je n'avais qu'une seule consigne à vrai dire, me faire passer pour sa petite amie. Déjà parce que nous allions partager la même chambre, mais aussi parce que nous ne pouvions pas être ensemble dans certains cas si nous n'étions pas en couple... Je n'avais dis rien sur ce fait également. De plus mon garde du corps n'était pas des plus laids alors je n'avais rien dit. Nous approchions de l'aéroport. Je voyais l'immense bâtiment vue du ciel. L'avion se posa sur la piste des privé, et mon garde du corps, nommé Bastian, me prit la main. Au moins, il jouait son rôle à merveille. Nous allâmes chercher nos bagages, et nous entrâmes dans une sorte de limousine qui nous amènerait jusqu'à notre hôtel...

Notre hôtel... Et bien que dire ? Un cinq étoiles en pension complète. Notre chambre ? Une suite rien de plus normal... Je souris en la voyant, vue sur la mer avec un magnifique balcon. Le bagagiste déposa nos bagages, et sortit. Dès qu'il quitta notre chambre, je me dirigeai vers la chambre. Je mis mon arme dans la table de nuit... Je sentis une main se poser sur mon épaule. C'était Bastian...

- Calmes-toi Carly... Il faut que tu profites un peu...

Je me retournais pour le regarder. Bastian était un mutant expérimenté. Je n'avais pas encore fais de mission avec lui, mais il était fort à ce qu'on disait.

- Je ne peux pas rester tranquille puisque n'importe où où je vais, je risque ma vie...

- Mais non... Allez va te changer dans la salle de bain... On va aller à la piscine...

Je l'écoutais et allais dans la salle de bain. Je mis un bikini, et ressortit de la pièce. Bastian était déjà près, une serviette à la main. Il m'en offrit une, et comme à chacune de nos sorties, nous nous tenions la main. Nous arrivâmes à la piscine extérieur de l'hôtel. Bastian choisit deux transat, et les rapprocha pour ainsi rester à une très faible distance de moi. Je souris. En faite j'allais sûrement aimer ces vacances... Je m'allongeais sur un transat, et Bastian en fit autant. Il resta sur le dos afin d'observer les alentours à la recherche du moindre problèmes... J'osais espérer qu'il n'y en aurais pas...

Marchant d'un pas détendu dans la réception de l'hôtel, je demandai au réceptionniste si Carly Blight et Bastian Dorjé étaient arrivé. Celui-ci me répondit que oui.*Il était temps* Me dirigeant vers un des sièges moelleux en cuir du Hall, je composai le numéro de cellulaire de Bastian.
-Oui allo? fit une voix grave mais douce.
Imitant la voix de Trystan, je m'exclamai faussement Bastian! je suis soulagé que tu sois sauf Carly est là?
-Oui Monsieur... mais pourquoi?
-Un espion de Black Pension vient pour capturer Carly... je faisais comme un virtuose vibrer d'émotion le faux trystan
-Où devons-nous aller? s'Inquiéta Bastian¸
-Allez chercher vos affaires en vitesse et venez à l'entrée, une voiture vous attendra. Rien n'est sûr je ne peux vous parler plus longtemps fin de communication.
Je souriais déjà de la tête qu'allait faire mes proies...

Bastian reçut un appel... Trystan apparemment... Je regardais mon partenaire, inquiète. Il m'expliqua alors que quelqu'un était là pour me capturer... Quoi ? Quelqu'un était en route pour me kidnapper. Bastian se leva, et m'aida à me lever. Même en vacances, on m'en voulait... Nous retournâmes alors dans la suite. Je me changeai rapidement, enfilant un short et un débardeur, puis pris mon sac et ma valise...

- Calmes-toi Carly... Tu ne dois pas paraître effrayé ou inquiète...

- Je sais mais j'ai un peu de mal en ce moment...

Bastian me prit la main. Je posai inconsciemment ma tête sur son épaule. J'avais besoin de réconfort en ce moment, cela devenait presque insupportable de vivre renfermée sur soi-même. Nous descendîmes jusqu'à l'accueil, et sortîmes dehors pour prendre la voiture. Je soupirais... J'étais inquiète de la suite... Qu'allait-il se passer ? Je montais dans un taxi, accompagné de Bastian. Et là, je le vis... C'était bien lui... Le mutant attirant... Celui que je rencontrais toujours... Il était là, devant dans la voiture...

-Bonjour très chers, dis-je d'un ton velouté. Je crains que vos portes soient verrouillées. Je leur adressai un sourire sadique à travers la parois vitrée par balle du taxi. Veuillez attacher vos ceintures, nous allons faire un long trajet. Me retournant comme si rien n'était, je démarrai le véhicule tranquillement et parti vers un lieu secret avec lenteur. Pour les énervai, je fis le tour complet de la ville en annonçant les lieux.

Par la suite à la longue visite obligatoire guidée, je fis rentrer un gaz spécial créé par des mutants pour causer l'inconscience. Après m'être assuré de leur dodo forcé, je leur souhaitai bonne nuit avant de me rendre dans un garage souterrain encastré dans le mur d'un immeuble. *La classe, plein de dépense pour un pauvre enlèvement* Je souris à cette douce et mielleuse pensée machiavélique.

Les sortants avec aucune douceur du taxi, j'attachai Carly sur une chaise en métal clouée au sol et pouvant servir de conducteur électrique. Je suspendit Bastian par les deux bras au plafond. Ses pieds ne touchant pas au sol, c'était un de mes supplices préférés. Il ne manquait que l'huile et le feu...

Non... Non... Je ne peux pas dormir... Il ne faut pas...

Je me réveillai. J'avais combattu pour résister à cette horrible envie de sommeil, mais je n'avais pus que m'y contraindre. J'ouvrai les yeux... Un hangar désaffecté... Où étions-nous ? Je cherchai Bastian du regard... Il était pendu par les bras. Quand à moi, j'étais attaché à une chaise... Je cherchais le mutant... Il était où ? Je le vis alors... devant moi.

- Que... Que me voulez-vous ? Pourquoi toujours moi ?

Je parlais d'une voix légèrement tremblante et endormie à cause du repos forcé que je venais de subir. Je le fixais dans les yeux.

- Qu'est-ce que je vous ai fais ?

Je voulais savoir moi. Me connaissait-il avant de me rencontrer ? Que savait-il de moi ? J'avais un peu peur de la réponse, mais il fallait que je saches une bonne fois pour toute...

-Rien justement... C'est que le nain m'envoie en mission ici et que tient vous êtes là donc pourquoi pas s'amuser. Je lui souris doucereusement et doucement. Si j'aurais pu je serais resté bien tranquillement à Black Pension pour faire souffrir correctement les mômes sous ma tutelle... Et que vois-je Bastian Saint-Amant vôtre protecteur! On pourrait s'amuser un peu non? En plus il se réveille c'est intéressant!... Je me tournai vers l'autre prisonnier. Ah! celui là on m'a pas dit de le ramener... Je pourrais le tuer par inadvertance... des brûlures sont vites arrivées ainsi que des brisures d'os... Je me retournai vers Carly par la suite. Les électrochocs vous connaissez?

Je ne le croyais pas... Pourquoi ? Parce que je n'avais pas confiance en lui tout simplement. Je ne comprenais pas très bien ses intentions, mais quand il commença à parler de brûlures, os brisés, ou encore d'électrochocs, je ne sus comment réagir. Je vis que Bastian commençais à s'éveiller. Je lui lançai un regard impuissant. Je ne pouvais rien faire à ce moment. Je décidais donc de faire ce que je savais mieux faire avec ce mutant...

- Désolé de ne pas te croire. Mais c'est trop étrange de se croiser sur deux missions et que tu me kidnappes après...

Je cherchais à le rapprocher de moi. Pourquoi ? Je vous laisse deviner.

- Laisses Bastian repartir, il ne t'as rien fais, c'est moi que tu veux après tout...

-Bah croies-moi pas mais je dis la vérité, je suis beau être quelqu'un de malfaisant et adore l'être je suis honnête. et pour ce joli petit commentaire voici un bref aperçu de ce qui va attendre Bastian... un choc de 90 volt pour commencer ça te dis mon homme, dis-je en prenant un fil électrique sectionné avec des gants en caoutchouc résistant après avoir réglé l'intensité de la décharge sur la batterie de maximus 200 volt...

Je m'approchai tranquillement vers mon prisonnier et lui montrai avec évidence le fil avant de le tenir contre son plexus solaire. Je me tassai légèrement pour que Carly le voit bien. Avec ma main libre, je pris l'interrupteur de la machine et enclencha la batterie.

Une décharge secoua le protecteur de tout son corps puis celui si devint inerte. C'est comme un taser en plus performant car la décharge est comme tu le désire.
-T'inquiète pas Carly il est pas mort. Bastianou est fort tu sais... le seul problème c'est qu'il ne va pas avoir le contrôle parfait de tous ces membres après notre séance je crois. Tu aime? après c'est ton tour. J'avais dis ça avec désinvolte. Je me fichais éperdument de sa vie au protecteur et en fait de Carly aussi mais je ne pourrais la tuer elle... c'était une proie facile et fragile donc avant de la tuer la maximiser. Elle dégageait une telle peur que c'était énergisant la capter.

Je regardai le mutant jouer avec des fils électrique, avant d'électrocuter Bastian. Je le vis grimacer, puis plus rien. Etait-il mort ? J'espérais que non, et les paroles du mutant me le confirmèrent par la suite. Ce serait mon tour par la suite ? Je ne comprenais pas. Qu'est-ce que je lui avais fais ?

- Qu'est-ce qu'il faut que je fasse pour que tu me laisses tranquille ?

Je n'en pouvais plus. Je voulais savoir. Pourquoi tout le temps moi ?

Spoiler:

-Sincèrement je sais pas... ce n'est point de ma faute si le Nain m'envoie en mission où tu es. La providence quoi? dis-je en lui souriant. Et non je ne vais pas te lâcher tant que je te verrai tu es une proie alléchante tu sais. Prend cela comme compliment je ne le fait pas souvent.

Je me retournai vers Carly tranquillement. Même attachée elle était comment dire attrayante avec ses courbes douces. Mais peu importait, ce n'était qu'une belle fille comme les autres.

-Bon tu préfères que je l'électrocute encore ou que je le brûle un peu j'ai de l'huile en réserve...

Je regardai Bastian. Il était encore inconscient, pendu. Je réfléchissais à un moyen de nous échapper, ou du moins Bastian. J'avais déjà eue à faire à ce mutant, alors je savais de quoi il était capable. Je baissai la tête pour regarder mes pieds. Il se mit alors à parler. Le Nain lui confiait toujours les missions sur lesquelles j'étais ? Et alors il pouvait refuser. Quoi !?! J'étais alléchante ? Comment cela ? Qu'avait-il derrière la tête ? Je relevai vivement la tête.

- Je suis peut-être alléchante, mais je suis dangereuse. Alors ne tentes pas le diable...

Petite précaution, mais il devait savoir à quel point, je pouvais ma venger. J'en avais marre qu'il m'empêche de faire ce que je voulais. Il parla ensuite à propos de Bastian. Je voulais me lever de ma chaise et sauter au cou du mutant.

- Je te propose un deal...

J’espérais que je n'allais pas regretter ce que j'allais dire, mais pour sauver Bastian, il fallait bien que je propose quelque chose.

- Si tu laisses Bastian partir, tu pourras faire ce que tu veux de moi, je ne broncherais pas...

Il fallait que ça marche. Je ne savais pas s'il allait me croire, mais je me devais de lui dire...

- Saches que je suis une femme d'honneur, je respecterais ce pacte jusqu'au bout...

-Je ne fais pas exprès de te croiser! la providence... et non je veux pas de ton pacte car j'ai du plaisir à électrocuter ton ami.... je crois que je vais le badigeonner d'huile pour le faire cramer.
J'allai chercher dans le coffre de la voiture, volée soit-disant passant, un gros baril d'huile. je l'ouvrai lentement en m'assurant que Carly voie ce que je faisais. je pris une grosse éponge, la trempa dans l'huile et badigeonna comme il faut le compagnon de la mutante. je chantonnai joyeusement en faisant la tâche.

Il prenait plaisir à sa tache. Il était en train d’enduire le corps de Bastian avec de l'huile. Je retenais mon souffle. Il chantai en effectuant sa tâche. Je détournai le regard. Je ne pouvais supporter de voir ce qu'il faisait. Et mon coeur qui était contradictoire avec ma tête. Toujours en fixant le sol, je pensais à une proposition plutôt improbable, mais je ne savais si je pouvais assumer cela...

- Si... Si, je rejoins Black Pension...

Que venais-je de dire ? Etais-je devenue folle ? Je soupirai. Une larme roula sur ma joue. Que faire ? Je regardais autour de moi à la recherche d'une solution.

- Faites ce que vous voulez de moi... Tuez-moi... Torturez-moi... Mais laissez la vie sauve à Bastian...

-Pourquoi je laisserai en vie? Ça me fait moins de plaisir. Tu ne vas pas arriver à me faire changer d'avis. Ah! Ne détourne pas le regard! C'est le meilleur... Bon puisque tu ne veux pas voir tu vas entendre. Des os cassés ça craque non? Donc même si tu ne vois pas tu vas entendre. Profite donc du spectacle il va être majestueux et remplit de très belle chose. Je commençai sereinement, avec une masse à frapper Bastian.

Sa jambe droite craqua et l'os du tibia transperça la peau en laissant couler un flot ininterrompu de sang rouge. Je laissai s'écouler une petite flaque de sang avant de m'approcher. Avec indifférence, je replaçai avec brutalité l'os, lui arrachant un cri de désespoir et de douleur strident. J'arrêtai sans douceur l'hémorragie avec du doc tape.

-Voilà mon vieux, dis-je en frappant sa jambe droite. Le mutant émis un plainte sourde. Je reculai et en sifflotant un air connus je me plaçai en prenant mon temps dans la bonne position pour casser deux os en même temps.

Cette fois c'était le tour de la jambe gauche. Avec un élan précis, je cassai en moins de deux, le tibia et la rotule du supplicié. Pas une goutte de sang mais avec plaisir je tordis le membre dans l'autre sens puis lui fit faire un 360 degré. Le bruit de craquement était une douce berceuse.

Maintenant les orteils... Un à un sans ménagement je les tordis de droite à gauche et gauche à droit et de bas en haut sans oublier de les tordre. Le mieux pas trop de sang juste un peu. Les dix orteils bien tordu, le bas des jambes du supplicié étaient tordues et méconnaissable.

Les cuisses maintenant... mais avant, je lançai un verre d'eau au visage de Bastian pour le garder conscient. Avec déférence, je cassai le fémur droit puis le gauche. Bastian, tellement la douleur était grande ne hurlait plus mais son visage était un délice de rage, douleur, désespoir, colère.... et en plus le bruit en prime. Les craquements ténébreux des os fracassés du mutant résonnaient dans tout le hangar. Ce son sinistre ajoutait à mon plaisir malsain je l'avoue.

Un grand sourire s'affichait sur mon visage et mes yeux brillaient d'un plaisir rageur et mielleux. Je me tournai vers Carly, pris le pinceau qui m'avait servi pour beurrer Bastian, le trempa dans la flaque de sang coagulé maintenant et fit, ironiquement une fleur sur son visage avec le sang. "Tu vois ton ami est pas mort encore il reste du plaisir... le rouge te fait bien." je jetai le pinceau sur ses genoux avant de rejoindre Bastian en bien piteux état il faut le dire.

Maintenant, c'était les côtes qu'il fallait casser... je laissai la masse à terre et donnai de puissant coups de pieds sur le thorax de ma victime qui, de son expression sur le visage, cherchait son air. Il se balança au bout de ses liens en ne pouvant rien faire. Je le laissai légèrement souffler soit trois secondes avant de recommencer le manège plusieurs fois pour être sûr de fracturer le plus d'os possible. Je laissai souffrir le supplicier deux minutes pour être sûr qu'il ait mal.

J'adorais ce que je faisais et ne changerais pas si vite que ça. J'aimais ce que j'étais. Je me délectais de la douleur des autres. Je cherchais vengeance comme le nain. Les mutants de SA n'étaient que des traîtres abjects qui méritaient le même sort que les autres. Pas de quartier. Pour gagner c'est sans pitié et rapidement fait.

M'approchant de nouveau vers le mutant, je pris ses doigts un à un et les cassa lentement pour faire souffrir le mutant allié aux traîtres. Maintenant les mains. Je frappai de bon cœur les deux mains de Bastian. Je le laissai en vie car je voulais qu'il souffre vraiment avant sa mort qu'il est le goût de mourir.

Les bras... j'en étais au bras. Douce vérité, c'était les bras qui supportaient mon prisonnier. Prenant ma masse à deux mains, je l’assenai de toutes mes forces sur le bras gauche de Bastian. Je le fis une dizaine de fois sur chaque bras en écoutant avec délice les craquements des os qui se fracturent. Après, je les tordis violemment en ne le ménageant pas. Par après, je pris une légère pause de deux minutes en souriant doucereusement à Carly. C’était l’horreur que je lisais dans son joli minois.

Je devais alors briser le dos de Bastian. Fastoche. En six coups de pieds, violent et non sans douceurs, je brisai plusieurs os car j’entendis des craquements. Ils se répercutèrent contre le mur créant à nouveau de l’écho dans la salle. En douze coups, je crois que j’avais cassé tout ou presque tous ses vertèbres. Les clavicules maintenant… La masse à la main ou la main à la masse, je frappai les épaules du supplicié en le regardant droit dans les yeux sans pitié, juste une indifférence, une froideur extrême.

Maintenant, Bastian n’était plus qu’une vieille carcasse rabougrie, aucune chance de redevenir normal en fait. D’habitude on brûle les carcasses… "Carly, ça te dérange pas que je le crame?" dis-je en allumant mon briquet. J’allumai Bastian comme une torche. Il poussa un hurlement de la mort. Sa peau brûlait rapidement et devenait rouge puis noir. Ses yeux n’étaient que douleur et rage. Ses cris étaient étouffés par la boucane. Il n’avait plus de cheveux maintenant. Juste un crâne brûlé. Après avoir brûlé comme il le faut ce n’était plus qu’un tas de cendre avec des os.
-Quel spectacle amusant n’est-ce pas? Dis-je en me tournant vers Carly.

J'avais peur. Peur de ce mutant, de ce qu'il était capable de faire. Je me doutais qu'il était capable de briser tous les os de Bastian, mais j'avais peur. J'entendis alors les os de Bastian craquer. Ses cris de douleur, et les commentaires du mutant étaient... Comment dire ? Insoutenable. Le mutant prit alors son pinceau, le trempa dans le sang de Bastian et se rapprocha de moi. Je le regardais, la crainte aux yeux. Il se mit alors à dessiner une fleur sur ma joue. Il dessinait... Avec le sang de Bastian... Je... Je ne sus comment réagir. Il laissa alors le pinceau sur mes cuisses. Je frissonnais d'horreur. Bien que j'avais déjà tué, c'était la première fois que je voyais quelqu'un se faire torturer. Le mutant se remit au travail, brisant un à un les os de Bastian. Je ne pouvais le regarder dans les yeux. Les os continuaient de craquer, laissant des bruits sourd se faire entendre. Il y eut un instant de silence, je relevais légèrement la tête. Le mutant m'adressa un sourire doux, malgré la situation. Puis il reprit. Sa besogne était presque finit, et il me demanda alors s'il pouvait brûler le corps de Bastian. Je ne répondis pas, et je sentis la fumée... L'odeur de chair brûlé... Les hurlements de Bastian...

- Pourquoi cet homme m'attire alors qu'il ne cause que la mort ?murmurais-je à moi-même, espérant qu'il ne m'ai pas entendue.

Après avoir finit, le mutant se retourna pour me faire face. Il me demanda alors si le spectacle m'avait plut... Mais j'avais plus en tête la suite des évènements. Je relevais vivement la tête, le regardant dans les yeux.

- Et maintenant ? Qu'allez-vous faire de moi ? Me torturer ? Me tuer ? Me violer ?

J'avais envie de pleurer, mais aucune larme ne sortait. La peur m'habitait, et à cause de ça, je ne pouvais pas laisser de larmes couler...

-Je ne sais pas que voulez-vous? je vous laisse le choix tant qu'il est sensé, mais je crois avoir une bonne idée. Dans certain cultes, pour s'imprégné une dernière fois de l'énergie de la personne et aider les proches à faire le deuil et se ressusciter pour vivre avec vigueur, les prêtres prennent les cendres du défunt pour les saupoudrer sur un ou plusieurs proches. Nous allons essayer.
Avec un cordon métallique trouvé dans la voiture volée, je pris indifféremment les os de feu Bastian pour les attacher en cercle pour créer une couronne d'os, certains pointu allaient vers l'intérieur. je me ré-approchai de la prisonnière pour "solennellement" enfoncer la couronne osselée sur le crâne de Carly avant de déclarer: Comme le Christ avant sa résurrection tu vas endurer souffrance. Sans me préoccuper d'elle, je rassemblai un tas de cendre et les mit dans un sac de papier avant de me retourner vers la mutante qui maintenant avait du sang dans le visage. *Parfait! la cendre va coller*

Je pris le sac avec "doigté et précaution" avant de déclarer: Feu Bastian est mort, qu'il se réincarne vite et que ses proches soit ressuscité de leur deuil, avant de vider les restes du mutant sur Carly.
-Voilà te voilà ressuscité ma chère, dis-je ironiquement.

Que faisait-il ? Etait-il fou ? Non. Recule espèce de fou. Je ne peux pas me laisser faire. Je fermais les yeux. Des larmes coulaient sur mes joues et se laissaient mourir sur mes cuisses. Je n'en pouvais plus. J'étais littéralement morte. Je n'en pouvais plus. Je voulais que tout s'arrête, que tout se termine que je retourne à l'académie, que je me réveille de ce cauchemar. Je pleurais, et je ne pouvais plus m'arrêter. Je regardais alors le mutant. Il ne devait pas voir grand chose dans mes yeux. Peut-être de la confusion, de l'ignorance et de quelque chose d'autre. Je regardais autour de moi à la recherche d'une issue quelconque. Rien.

- Et maintenant ? Vous allez faire quoi ?

J'avais peur de cet homme maintenant. Je ne pouvais plus rien penser. Je ne voulais plus qu'une chose. Que tout cela se termine, de n'importe quel façon que ce soit.

Je m'apprêtait à répondre à la requête de ma détenue lorsqu'un grondement intense et un tremblement de terre se fit ressentir. Il était intense, un bon 6 sur l'échelle de Richter. Les lumières vacillèrent puis s’éteignirent. Cependant, la structure solide du bâtiment fit que rien ne nous tomba sur la tête à par quelques plaques de bétons rien de grave.

N'y portant guère attention, je commençai à répondre à Carly: Je.... mais le mur se défonça une avalanche de débris et d'eau déferla dans le hangar. Nageant en vitesse vers la surface, soit le plafond écroulé, je me fis heurter par plusieurs débris: morceau de mur, conduits d'aération etc avant d'en recevoir un en pleine tête et ce fut le noir.

L'odeur du sang. La fumé de feu. La texture de la cendre. Un vrai film d'horreur. Mes yeux me piquaient. Des larmes roulaient sur mes joues. Ma voix était étranglée par les sanglots. Je voulais que tout s'arrête. Que tout prenne fin. La terre se mit à trembler. Je regardais autour de moi. Le mutant se rapprocha, mais un mur céda sous la pression de l'eau. Je sentis l'eau autour de moi. Mes pieds s'assemblèrent et formèrent une queue, des écailles apparurent. Je regardai le mutant. Il venait de se faire assommer par de multiples débris. Je cherchais une solution. Je fis alors en sorte d'augmenter la pression de l'eau sur mes menottes afin de m'échapper. L'eau me recouvrai totalement et si je n'avais pas été une sirène, je n'aurais pas survécus. Au bout d'un moment, les menottes cédèrent, si bien que je remontais à la surface. Une fois la tête hors de l'eau, je me dirigeai vers le mutant. Il était inconscient. Je cherchais un endroit où nous pourrions ne pas être repéré. Je vis alors un toit. Je me dirigeai vers celui-ci et remontai le mutant sur notre plate-forme. Je mis ma tête près de celle du mutant afin de trouver sa respiration. Rien. Je me rapprochais alors et commençai à lui faire du bouche à bouche.

J'eu une violente quinte de toux en reprenant mes esprits. je crachai un bon demi litre d'eau avant de pouvoir respirer correctement. *Oh pis merde je dois la vie à Carly maintenant* Je m'assied en indien devant la sirène. "Donc voilà la situation, il y a un tsunami, il y a de l'eau partout, tu viens de me sauver la vie. Maintenant la question qui tue: Qu'est-ce qu'on fait?" j'avais dis cela avec indifférence.

Je me fichais de ce qui allait arrivé, car je ne sais pas pourquoi mais je ne voulais pas quitter Carly... je la désirais mais pour m'amuser avec elle au sens tortionnaire. Et oui ma vie est centrée sur la torture des gens. Je ne sais pas pourquoi, J'ADORE cela. L'adrénaline peut-être... ou le fait d'être méchant.

Mes lèvres sur les siennes, je savourais ce qui était normalement le seul moyen de le sauver. Je l'entendais alors tousser. Je le regardais reprendre ses esprits. C'est dans ces moment-là qu'être une sirène était utile. Il s'assit alors devant moi. Il avait un air indifférent, mais je voulais le secouer un peu. Sa question me fit légèrement sourire.

- Je ne sais pas... Dans tous les cas, c'est plutôt à toi qu'il faut demander ce que tu vas faire. Je pourrais très bien rester, ou partir après tout ce que tu as fais...

Je le regardais. Ma queue était dans l'eau, ainsi il ne voyait que mon buste. Je ne voulais pas partir, je voulais rester, voir s'il allait changer de comportement. Je lui lançais un sourire quelque peu provocateur.

- La question est plutôt : Qu'est-ce que tu vas faire ?

"Hum, bonne question, voilà mes réponses:
-Je te tue, ce qui serait tentant
-J'appelle un hélico de BP avec mon cellulaire waterproof mais ça serait pas drôle
-Je vais nager dans le ras de marée, ça serait rafraîchissant non?
-Je te torture, ça serait drôle
-Je te coupe ta queue de poisson avec une tuile, faudrait juste en arracher une ou en pêcher une
à part ça toi tu fais quoi?"

J'avais du temps à perdre et elle voulait jouer le jeu... donc que la partie commence

Ses réponses étaient directes, mais cela lui correspondait. Je posais mon menton dans la paume de ma main. Je le fixais, laissant ma queue battre dans l'eau. Que faire ? Que dire ? Je soupirais.

- Nous sommes seuls en pleine mer... Il n'y a personne... Je ne vois pas grand chose à faire...

Je me rapprochais de lui. Il était assis en tailleur. Sans réfléchir, je mis ma main derrière sa nuque afin de le rapprocher de moi. Je souris, avant d'amener ses lèvres aux miennes. Je savourai, l'embrassant avec fougue.

- Il y a plein de choses que nous ne pouvons pas faire mais...

Je souris une nouvelle fois, légèrement haletante.

Elle m'embrassai... je ne répondit pas à son baiser. un sourire narquois flottait sur mon visage. D'ailleurs, ma face était proche de celle de la petite sirène. Pour décrire le baiser, il était... mouillé.
-Premièrement nous sommes pas en pleine mer sinon l'eau serait salée et le baiser aussi. Deuxièmement tu n'as pas répondu comme il le faut à ma question et troisièmement il y a plein de chose à faire comme... regarder le ciel, appeler du secours, nager dans les débris, s'insulter, se battre, te laisser tuer, te laisser torturer, toi tu peux t'enfuir, etc, etc.
Je la regardait, les yeux brillant de méchanceté et de plaisir.

Qu'est-ce qu'il pouvait être chiant ! Impossible de lui détourner les idées ! Je soupirais, mettant ma tête sur mes mains jointes, le regardant toujours. Pourquoi avait-il fallut que j'ai des sentiments pour un homme pareil ?

- Alors voilà ce que je compte faire. T'interroger ! Je veux comprendre !

Je le fixais toujours, lui prenant sa main.

- Je veux savoir pourquoi est-ce que tu fais autant de méchancetés. Pourquoi ne m'acceptes-tu pas ? Est-ce ton enfance qui a fais cela de toi ?

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