Un grande nouvelle à annoncer (PV Matthew)

Pas de missions à l'horizon. Oui j'avais été faire quelque recherche en utilisant ma couverture pour Derek. Des recherches sur des scientifiques. Enfin, j'avais aussi été faire quelques mission en voiture, mais j'avais eux un petit accident à côté d'un laboratoire. J'avais renversé deux ou trois scientifiques qui sortaient du parking... Je n'avais pas fais exprès de toute façon, et puis qui chercherait à trouver un coupable qui pourrait ce transformer en camion ?

Enfin bref, j'étais en direction de la chambre de Marylia. Je voulais lui poser une question. Je voulais lui demander si elle coulait m'accompagner à ma prochaine mission. J'avais reçut le droit d'emmener une personne, mais la mission n'était pas des plus dangereuses. Je frappais doucement à la porte. J'attendis un instant, mais je n'avais pas entendue sa douce voix. Pourtant il me semblait qu'elle n'avait pas cours à cette heure. Je baissais la poignée pour être sur, mais la porte était ouverte. J'entrais donc, regardant la chambre qui semblait vide. Il y avait sa veste sur la chaise de son bureau, son sac à main au pied de celle-ci.

- Marylia ?

Rien. Je m'inquiétais un moment, puis vis la porte de la salle de bain entre ouverte. Je me permis d'entrer dans la petite pièce, de toute façon, j'espérais que ma présence ne la dérangerais même si elle était nue. Après tout, nous avions partagé des moments ensembles. Et là, je la vis, à terre, sur le carrelage, en train de pleurer.

Je me précipitais auprès d'elle. Pourquoi pleurait-elle ? Etait-elle blessée avais-je fais quelque chose de mal ? Parles moi mon amour. Je la ramenais contre moi, la serrant contre mon torse, déposant un baiser sur son front, essayant de la rassurer. Puis je vis deux boîtes sur le bord de son évier. Je ne vis que le nom. Je compris alors. Je la serrais contre moi. J'étais sous le choc. Je n'y connaissais rien dans e domaine. Je me repris alors un instant.

- Tu... Tu...

Je ne trouvais pas les mots. Je n'arrivais pas à penser correctement. J'allais être... Non, je n'y arrivais pas. C'était tellement rapide... Mais étais-je prêt ? J'aimais Marylia de tout mon coeur, mais avoir un... un... Je n'y arrivais vraiment pas. Je ne savais pas si je devais être heureux ou effrayée, mais ce qui était sûr, c'est que peu importe ce qui se passerait, je sais que notre couple fonctionnera et que rien ne le brisera.

Une fois... On l'avait fait une seule fois. J'aurais dus y penser. Mais j'avais été tellement emporté par elle, que je n'y avais pas pensé. Cela faisait deux mois alors. Je la serrais dans mes bras, me voulant être rassurant. Je l'aimais plus que tout. Je n'allais pas la laisser tomber pour ça. Je séchais les dernières larmes de ma douce, et l'embrassais tendrement de façon rassurante, protectrice. Puis elle le dit. Elle était enceinte... Elle portait le bijou de notre amour, bientôt notre amour marcherais avec nous, à côté de nous. J'allais être père. Bientôt, un ange tomberais du ciel et m'appellerai Papa. J'aidais alors Marylia à se relever, la prenant dans mes bras par la suite. Je l'amenais dans sa chambre, quittant la froideur de la salle de bain pour aller se poser sur son lit. Je la fis s'asseoir, et pris sa chaise de bureau et y pris place. Je cherchais encore quoi dire, mais je devais parler ne serait-ce que pour rassurer Marylia et lui affirmer que quoi qu'il arrive, je serais toujours là pour elle. Je mis délicatement ma main sur sa joue, ramenant son regard vers mes yeux.

- Ne t'en fais pas, quoi qu'il arrive, je serais toujours là pour toi mon ange. Je t'aime, et je t'aimerais toujours, quoi qu'il puisse arriver.

Je l'embrassais tendrement, avec amour. Maintenant, j'étais heureux. Il avait juste fallut que j'encaisse le fait que j'allais être père. Et puis, tout ça était si soudain, si imprévue. J'aurais pensé que nous aurions le temps de prendre la décision nous-même pour concevoir un enfant, mais finalement le destin avait voulus que notre amour soit à nos côté jusqu'à la fin de nos jours. Finalement, je repoussais la chaise, et m'assis à côté de ma bien aimée. Je posais ma main sur son ventre qui bientôt commencerais à s'arrondir, l'embrassant avec tendresse. Je posais mon front contre le sien, la regardant avec amour.

- Je t'aime. Cet enfant est juste la preuve de notre amour mutuel, il est notre ange et bientôt, il sera à nos côtés...

Un garçon... Une fille... Une fille... Un garçon... Peut-être était-ce les deux. Dans ce cas, la grossesse serait vraiment difficile, et moi avec mes missions... D'ailleurs comment allait-il le prendre ? Ici, à Black Pension ? J'espère que cela ne portera pas préjudice à Marylia. Je ne vois pas pourquoi on la rejetterait pour sa maternité. Et puis, c'était de ma faute après tout, je n'avais qu'à faire attention lors de notre première fois. De toute façon, quoi qu'il arrive, je resterai à ses côtés, si nous devions quitter Black Pension, et bien nous le ferons, mais le pensionnant n'en sortirai pas indemne, c'est moi qui vous le dis. Je serrais Marylia contre mon torse. Il fallait que je pense à nous, l'heure n'était pas à la réflexion, mais à notre amour et à la tendresse.

- Moi aussi mon ange. Je suis si heureux pour nous deux.

Mine de rien, je commençais à me faire au fait que j'allais devenir père, que bientôt un enfant sera dans les bras, et m'appellerait "Papa". Il aurait le plus merveilleuses des mamans au monde, il ne manquerait de rien cet enfant. Il aura peut-être une mutation, mais cela on ne pouvait pas encore le dire. Même s'il en possédait une, il vivra heureux, parce qu'il aura quelque chose d’indestructible, il sera heureux, parce qu'il vivra dans l'amour et la joie. Je remis une mèche de ma douce en place, gardant toujours ma main sur son ventre où elle-même avait posée sa main. Je ne sais pas pourquoi, mais maintenant, je voulais que cet enfant soit déjà là, dans mes bras, dans les bras de sa mère. Je songeais alors à un "petit" détail. Il faudrait mieux que Marylia et moi dormions dans la même chambre. Ce serait plus simple et plus facile pour ça grossesse, et puis, j'étais le père de cet enfant alors je préférais avoir ma femme, enfin mon amour auprès de moi.

- Cela te dirait que l'on puisse vivre dans la même chambre ? Histoire de ne plus jamais être séparé.

Bon j'irais en parler avec Derek, parce que je me doute que je ne pouvais prendre la décision comme ça, mais je saurais me montrer persuasif. Je ferais tout pour mon ange.

J'allais soumettre la suggestion à Derek, et puis il l'accepterait. Je ferais en sorte que ça marche. Peut-être que cela passera mal que Marylia est enceinte d'un confirmé, mais il n'y avait pas eut de viol, de séquestration ou bien d'autre choses, il n'y avait que de l'amour. De l'amour pur et sincère, alors il allait nous laisser s'installer ensemble. Lui aussi avait un grand amour, alors il n'allait pas dire le contraire de mes pensées. Je déposais mes lèvres sur celles de Mary, appréciant le doux contact de sa peau contre la mienne.

- Il y a encore un peu moins de six mois, j'étais encore un élève, alors je ne vois pas pourquoi on m'empêcherais de vivre à tes côtés.

Je la serrais encore plus fort contre mon torse, toujours ma main sur son ventre. Je m'imaginais déjà dans quelques mois, quand son ventre sera rond, allongé à côté de son ventre à parler avec mon enfant, notre enfant. J'allais être le plus heureux des mortels à présent, j'avais une femme que j'aimais plus que tout, un amour indestructible, et bientôt, j'aurais un enfant, le notre. Que ce soit un garçon ou une fille, je serais heureux. Dans tous les cas, il aura les traits fins de sa mère et rien que pour cela, je risquais de tomber amoureux une nouvelle fois.

Je serrais Marylia contre moi, un bébé... Je ne pus m'empêcher de me projeter dans le futur. Dans neuf petits mois, un petit être serra à nos côtés. Notre petit être adoré. Notre petit ange tombé du ciel. Finalement ma vie allait prendre un nouveau tournent. J'allais enfin pouvoir être heureux. Déjà, depuis ma rencontre avec Marylia un rayon de soleil avait éclairé mes journées, et à présent, c'était tout le soleil qui rayonnait mes jours.

Quand Marylia sa tête sur mon épaule, je ne pus m'empêcher de déposer un baiser sur son front, un baiser doux et amoureux. Je passais ma main dans sa chevelure, alors que ma seconde main était toujours sur son ventre, sous la sienne. Nous étions unis tous les trois par ce contact. Je crois que j'allais pleurer de joie, des larmes de bonheur, d'amour. Et la phrase de Marylia me fit un immense bonheur. Elle était heureuse, dans ses yeux, je voyais la joie et aussi un peu l'impatience que le grand jour n'arrive. Je souris un instant.

- Et toi, tu ne pouvais pas m'offrir quelque chose de plus beau et précieux que ton amour... Ce bébé que tu portes, qui grandit en toi, est juste la preuve que notre amour est véritable, que l'on s'aime plus que tout malgré ce qui peut arriver...

Elle était blottie contre moi, je la rassurais comme je pouvais, essayant de trouver les bons. Je ne pus m'empêcher de l'imaginer avec ce petit ventre rond qu'elle aurait dans quelques semaines. Je ferais en sorte qu'elle vivrait bien sa grossesse, parce que certaines personnes pouvaient dire des choses extrêmement blessante sur cela. Puis elle se redressa soudainement et me regarda dans les yeux, elle était soudainement très inquiète, elle avait peur de quelque chose. Les examens... L'hôpital... Non, il était hors de question que Marylia y aille. Je ne voulais pas qu'elle sa fasse ausculter et tout par des personnes proches des scientifiques. Je ne voulais pas c'est tout.

- Ne t'en fais pas pour cela mon coeur. Je vais trouver une solution, je te le promets. Jamais je ne t'amènerais dans un hôpital.

Je l'embrassais tendrement sur les lèvres, ma main sur sa joue. Je l'aimais et elle portais notre mour en elle, et pour ça je la protégerais au péril de ma propre vie, comme on dit, deux vies valent mieux qu'une, surtout s'il s'agit des personnes les plus importantes de votre vie.

Je demanderais à Derek s'il connaissait un moyen de pouvoir suivre la grossesse de Marylia sans aller à l'hôpital, où lui faire voir un médecin. Je savais qu'elle avait été traumatisée par ce qui lui était arrivée, et je ne voulais pas que cela recommence et encore que notre enfant garde les mêmes souvenirs que nous, ses parents, avons. Je ne voulais pas que notre bébé se souvienne de laboratoires, de scientifiques, d'hôpital ou de pleins d'autres choses encore plus horrible les unes que les autres. Je voulais que notre enfant vive une enfance heureuse sans le moindre problèmes. Je déposais un baiser sur le front de Marylia, sans m'en rendre compte, ma bien aimée s'était endormie et était monté dans le royaume des rêves.
Je la prenais dans mes bras, me levai et la déposais doucement sur son lit. Je la mis sous la couvertures et remontai celle-ci jusqu'à ses épaules. La journée avait été riche en émotion pour elle. Elle venait tout de même d'apprendre qu'elle allait être maman, et ce sans vraiment le vouloir. Mais c'était pour notre plus grand plaisir, car notre amour marcherais à nos côtés dans quelques années. J'aurais bien voulus rester à ses côtés, à veiller sur elle, à la regarder dormir, mais je devais aller voir le directeur. J'allais devoir annoncer que Marylia était enceinte. J'allais trouver les mots, notre amour m'aiderait à le convaincre, j'en étais sûr.