Un retour très attendu (PV Matthew)

Je sortais à peine du bureau du directeur, que je m'étais dépêché de rejoindre la chambre de Marylia. Je n'avais plus qu'une envie, c'était de l'embrasser, de la serrer dans mes bras, de la revoir. Deux semaines... Qu'est-ce que c'était long deux semaines. J'aurais préféré rester là, mais je n'avais pas eus le choix. Je n'avais même pas pris la peine d'aller dans ma chambre, que je me retrouvais devant la porte de ma bien-aimée. J'entrais, sans frapper. Je refermai la porte derrière moi, et regardai mon ange assise à son bureau. Je souris, et me rapprochai d'elle pour l'entourer de mes bras.

- Tu m'as tellement manqué...

Je l'embrassais dans le cou. Dans un geste tendre, je la retournai vers moi et l'embrassai sur les lèvres.

Je me serrais contre elle,son contact, son sourire, sa voix, son corps m'avaient manqué. Deux semaines... C'était beaucoup trop long. Je soupirais et ne pus m'empêcher de l'embrasser, langoureusement, longuement. Je voulais profiter d'elle toute la soirée, toute la nuit. Je laissais mon sac tomber de mon épaule et pris mon amour dans mes bras, comme une princesse. Je la serrais contre moi, avant d'aller m'asseoir sur son lit, Marylia sur mes genoux. Je lâchai ses lèvres, haletant, mon front contre le sien.

- Rien ne m'empêchera de te voir...

Je l'embrassais de nouveau, ma main descendant dans son dos, tandis que l'autre descendait sur sa poitrine.

Je la serrais contre moi. J'avais de nouvelles envies à présent, je ne sais pas trop comment l'expliquer, mais je voulais plus de notre relation. Je voulais passer cette barrière, que je m'étais imposé pour ne pas brusquer Marylia. Maintenant, je voulais briser cette barrière. Je l'aimais, et je voulais lui prouver. Je l'embrassai une nouvelle fois, avant de la regarder dans les yeux.

- Je t'aime de tout mon être Marylia...

Je m'allongeai sur son lit, elle a côté de moi. Je l'embrassai toujours, ma main descendant sa sa cuisse, la caressant de haut en bas. Je restais proche d'elle, ne voulant pas perdre ce contact entre nous. Je devais peut-être lui dire...

- Je... Es-tu prête ?

J'étais un peu gênée de lui demander cela, mais en soit, je ne voulais pas la vexer ni la brusquer. Je l'aimais, mais pour rien au monde je ne voulais qu'elle pense que j'étais un obsédé ou un pervers.

Je souris. Elle aussi semblait le vouloir. Elle se serra contre moi, et m'embrassais. Je lui répondais avec tendresse, cette fois, je commençais à me laisser aller. Mes mains descendirent jusque dans son bas du dos, proche de ses fesses. Mon autre main restait au niveau de son cou, mon pouce caressant sa joue. Je me collai à elle, mon corps réclamant le sien. Je quittai alors ses tendres lèvres pour aller glisser les miennes dans son cou. Sans m'en rendre vraiment compte, ma main était passée sous sa robe, caressant ses fesses.

- J'ai envie de toi mon amour...

Je sentais que le désir commençait à monter en moi, mais il ne fallait pas brusquer les choses. C'était ma première fois, et pour elle aussi, elle je voulais que tout soit parfait, que tout soit beau et romantique. Que tout se passe dans la même atmosphère que notre premier baiser, dans une tendre ambiance. Je cherchais alors ses lèvres. Je l'aimais de tout mon coeur, et dans les heures qui vont suivre, je vais la chérir et l'aimer telle un chevalier pour sa princesse.

Doucement, je défaisais la fermeture de sa robe, laissant mes mains glisser sa robe. Je l'embrassais, avant de passer au-dessus d'elle, faisant attention à ne pas mettre tout mon poids sur ma bien-aimée, mêlant mes jambes aux siennes. J'admirais son corps d'ange.

- Tu es la plus belle mon amour...

Je quittai ses lèvres pour aller jouer de ma langue à travers son soutien gorge. Je souriais, une lueur de désir dans mes yeux. Ma main quand à elle descendit caresser son intimité à travers le tissu qui la cachait. Après un petit moment à la taquiner comme cela, je remontai à ses lèvres, pendant que mes mains allèrent défaire son soutien gorge. Posant une de mes mains sur son sein, je lui souris.

- Je suis le plus heureux des hommes.

La peau de Marylia était d'une extrême douceur. Je ne pouvais m'empêcher de déposer des baisers partout sur son corps. Je sentis ses mains descendre au niveau de mon boxer. Je souris, et mis ma main derrière sa nuque, pour ne pas qu'elle quitte mes lèvres. Je cherchais sa langue, jouant avec la mienne. Mon autre main descendit au niveau de son intimité, avant de passer ma main sous sa culotte. Je la caressais intimement, l'embrassant dans le cou.
Pendant ce temps, ma langue descendit vers sa poitrine, et alla mordiller un de ses seins. Je l'écoutais pousser quelques petits gémissements de plaisir, puis arrêtait tout, pour remonter à ses lèvres, et l'embrasser tendrement.

Je sentis que Marylia m'enlevait mon boxer. Je l'embrassais toujours, nos lèvres ne semblaient pas décider à se lâcher. Elle se colla encore plus à moi, je sentais sa poitrine contre mon torse. Sa douce et tendre poitrine. Tandis qu'elle passa ses mains au tour de cou, mes mains descendirent le long de son corps, s'arrêtant à sa taille. Mon sexe était dur et chaud, prêt pour elle. Prêt pour notre union.
Tendrement, je commençais à lui retirer ce triangle qui cachait son être. Je posai mon front contre le sien. Je la regardais dans les yeux. Ses doux yeux marrons qui avaient fait chavirer mon coeur. Je l'aimais, et j'allais lui prouver mon amour. Avec un petit sourire, je descendis lentement sans quitter mon regard du sien. Je lui enlevai totalement son morceau de tissu. Je léchai lentement ses lèvres intimes, le désir brillant dans mes yeux. Je la regardais sous crispée légèrement sous l'effet du désir.

Je remontais à son visage, déposant des baisers humides dans son cou. L'une de mes mains sur sa taille, l'autre au niveau de sa poitrine, je pénétrais en elle, dans un geste lent et tendre. Je venais de lui prendre sa virginité. Je l'embrassai tendrement avec amour sur ses lèvres avant de commencer des vas-et-viens lent et doux, sans violence.

Marylia... Marylia... Marylia... Son nom résonnait dans ma tête, dans mes pensées. Il était gravé à jamais dans ma vie, mon existence, mon être. Elle était tout pour moi. Ma moitié, ma confidente, mon ange, mon amour, ma vie. Elle tenait dans ses mains mon coeur. Je savais qu'elle en prendrait soin. Elle ne le laisserait pas tomber au moindre problème, mais au contraire, elle le serrerait plus fort pour qu'il ne chute pas. En faite, je n'étais plus qu'un corps composé d'un squelette et de muscles, mon organe principal était entre les mains de ma bien aimée, de mon être cher. J'étais devenus fous d'elle maintenant. Elle était mienne, j'étais sien. Elle pouvait faire de moi ce qu'elle voulait, j'étais comme sa marionnette, son pantin. L'amour rendais fou...

Sa joue contre la mienne, son corps contre le mien, ses mots doux susurrés à mon oreille. Mon coeur allait exploser d'amour, de joie. Je continuais mes vas-et-viens, accélérant le rythme. J'avais envie d'elle. Elle était la flamme de mon désir, elle était la seule à pouvoir jouer de ce pouvoir. Son corps de porcelaine était tellement beau et fin, ses cheveux en cascade continuaient de bouger au rythme de nos étreintes. Je l'aimais. Je ne pourrais cesser de la contempler, qu'elle soit nue ou habillée. Elle était mienne, et quiconque essayerais de me la ravir ou de la blesser, risquait sa vie. Désormais, elle était ma bien-aimée, plus rien ne pourra empêcher cela. Je lui serais fidèle pour l'éternité. Mon âme et mon corps ne ferais que la rechercher elle, et elle seule.

Je l'embrassais tendrement, sans arrêter mes coups de reins, allant de plus en plus vite, cherchant à aller au plus profond de son être. Dans mes gestes, je lui montrais tout mon amour. Mes mains glissèrent sur sa peau, de son épaule à sa taille. Je sentais dans mon dos des gouttes de sueur tellement j'avais chaud. Je rapprochais mes lèvres près de son oreille. Murmurant trois simples mots. "Je t'aime..."

Magnifique... Angélique... Rayonnante... Yin... Lumineuse... Intelligente... Aimante... Tous ces mots qui la qualifiaient, mais il y en avait encore bien d'autres. Beaucoup d'autres. Elle était unique. Personne ne pouvait l'égaler dans n'importe quel domaine. Et puis, elle était mienne. D'ailleurs je pouvais être jaloux dans certains cas, alors attention à ceux qui l'approcherait de trop près. J'étais un tantinet protecteur. Quand j'aime, je ne compte pas, et Marylia était une ange au quelle je ne pouvais résister. Je l'aimais plus que tout.

Mes coups de reins étaient de plus en plus rapides, et forts. Ses petits gémissements me rendaient encore plus fou d'elle. Ses mains redessinaient mon corps passant sur mes fesses, glissant dans mon dos, suivant les muscles de mon torse, embrassant mes lèvres. Elle était magique. Tendre mortelle à la voix cristalline. Je l'embrassais tendrement sur les lèvres.

Je sentais que j'allais bientôt jouir en elle, pour elle, à cause d'elle. Mon amour était inébranlable et je savais maintenant que rien ne pourrait nous séparer. Nos âmes étaient liées, bien plus que nos corps. J'étais son alter ego, sa moitié, son yang. Je continuais mes vas-et viens, jusqu'à atteindre l'extase. Je lâchais mon doux liquide blanchâtre en Marylia, l'embrassant dans le cou, tandis que je l'entendais pousser des petits gémissements.

Je la serrais contre moi, son corps fin et frêle contre mon torse, sentant sa chaleur, son doux parfum, la regardant dans les yeux. Ses doux yeux marrons hypnotisant tout comme sa voix. Elle était à moi, j'étais à elle, nous étions deux jeunes amants, amoureux et passionnés,, l'un contre l'autre, toujours unis, à se regarder comme si l'on se redécouvrait une nouvelle fois...

Un doux corps innocent, frêle et angélique se tenait dans mes bras. J'avais atteins le pêché en la libérant de sa virginité, mais ce n'était pas de ma faute après tout si on s'aimait. Elle avait beau être une ange, je la voulais pour moi. J'étais égoïste, je sais bien mais dans un cas comme celui-là, je ne partage pas. Je tiens trop à cette femme pour la laisser partir. Je l'embrassais avec amour et dévotion. Toujours unie à elle, je me retournais sur le dos, si bien qu'elle se retrouva au-dessus de moi. Je remontais par la suite la couverture sur son dos afin qu'elle n’attrape pas froid. Je la tenais dans mes bras, l'entourant d'un geste protecteur. Je la regardais dans les yeux, amoureux et passionné.

- Je t'aime mon ange. Tu as mon coeur entre tes mains. Je te le confie pour la vie.

Je déposais un doux baiser sur son nez. Elle était belle dans sa tenue la plus simple, sa tenue d'Eve. Elle était magnifique aussi avec des vêtements, mais je me sentais encore plus proche d'elle lorsque nous étions dans notre plus simple habit. Je jouais avec une boucle de ses cheveux qui s'était échappée. Nous étions toujours unis, blottis l'un contre l'autre, et aucun de nous ne semblait vouloir briser ce lien physique qui venait de se créer entre nous, bien qu'un autre lien avait prit vie.

Je regardais mon ange dans les yeux. Ses yeux marrons et ensorcelants. Elle était vraiment la plus belle. Et que dire à ses paroles ? Je sentais sa sincérité, sa fragilité, sa simplicité et tout son amour. Je souris, puis basculais sur le côté, afin de me retirer d'elle. Malgré le fait que je voulais rester en elle, je sortis ma virilité de sa féminité, brisant le lien qui nous unissait.

- Quoi qu'il arrive, dans les hauts et les bas, dans la victoire comme dans la défaite, je t'aimerais toujours Marylia Laniasyn.

Je déposais alors un tendre baiser sur ses lèvres, la serrant dans mes bras. Nos peaux étaient encore chaudes de nos étreintes et nos joues toutes roses de notre amour et notre désir. Nous étions allongés sur le lit, l'un contre l'autre sous les couvertures. Je posai mon front contre le sien, et la regardais dans les yeux. Elle semblait rayonnante de bonheur et d'amour et cela ne me fis qu'une seule chose, l'aimer davantage.

Collé l'un à l'autre, notre amour nous liant. J'avais rompu notre lien physique, mais le lien psychique était encore présent, je le sentais là, dans mon coeur. Je l'aimais plus que tout. Jamais je n'aurais crus pouvoir aimer à ce point. Je ne pouvais pas imaginer aimer plus que j'aimais Marylia. Je l'entourais de mes bras, l'attirant contre mon torse. Je souris à ses doux mots et déposais un énième baiser sur son front.

- Ne t'en fais pas, je veille sur toi.

Elle finit par fermer les yeux et par plonger dans les méandres du sommeil. Je la tenais toujours contre moi, fermant aussi les yeux, un sourire sur le visage. La vie pouvait être belle en faite...